Que signifie Le Cœur Flamboyant ? Il est celui qui anime le corps de l’homme pour qu’il devienne un guerrier ; il sera son seul guide sa vie durant pour l’inciter à être juste en toutes circonstances. Procédant d’une conscience éclairée et ébloui par la beauté du monde, le guerrier devra apprendre à le quitter un jour.

Ce livre s’adresse à tous ceux qui souhaitent ne pas se laisser broyer par les aléas de la vie, dans l’incapacité de dévoiler leur vrai potentiel à la place qu’ils occupent par manque de courage, de rigueur, de ténacité, de volonté, de confiance en eux. La source de leurs richesses intérieures et de leur énergie est leur cœur flamboyant.

Chacun d’entre nous pour accomplir sa vie d’homme en pleine conscience, doit laisser parler son Cœur Flamboyant, et user de sa connaissance et de ses dons pour que ses choix se fassent en harmonie avec les forces et les lois cosmiques naturelles. Témoigner de cette force éternelle, l’Amour, qui transcende la vie et attribue à la mort sa juste place, celle d’une transition entre deux vies, tel est le message du Cœur Flamboyant.

Entre la naissance et la mort s’écoule ce qu’on appelle la vie. Soyons attentifs durant notre vie temporelle et interrogeons-nous sur la mort afin de découvrir toute la richesse de notre Cœur Flamboyant. Se donner le temps de méditer sur le sens que nous donnons à la mort sans remettre à plus tard pour y penser, est le meilleur moyen de se révéler la joie de vivre et d’aimer. C’est enfin comprendre ce que la Vie veut nous dire.

Robert Jacquot a publié Vivre en pleine conscience est le prélude de l’éveil (2009) puis un essai sous forme d’un bloc-notes ciblé autour de quelques thèmes essentiels de la vie pour amener l’homme à connaître son cœur spirituel, qu’il a intitulé Du Coq à l’Âme (2010). Ce sont les deux premiers volets de son triptyque dont le dernier, Le Cœur Flamboyant, aide à découvrir notre richesse intérieure et notre devoir d’aimer pour ne plus craindre la mort.
Entre temps est paru un conte pour petits et grands, L’Ascète du Bézu (2011).